Année 2023-2024 Année 2023-2024 > Semestre 2

Présentation générale des enseignements

Notre offre pédagogique se compose au premier semestre de quatre cours d’introduction généraux (en format 24H / 6 ECTS) :

  • Pourquoi la dissuasion ? Introduction aux questions stratégiques (Mélanie Rosselet)
  • Histoire de la dissuasion nucléaire (Frédéric Gloriant et Dominique Mongin)
  • Théories et sociologie politique des relations internationales (Pierre Ramond)
  • Art, culture et guerre (Céline Jurgensen)

Au second semestre, nous offrons un ensemble d’enseignements plus spécialisés (en format 12H / 3 ECTS) :

1. des cours dédiés aux nouveaux espaces de conflictualité :

  • La conflictualité cyber : Nouveaux conflits dans d’autres théâtres, ou nouveaux théâtres des mêmes conflits (Gaëtan Poncelin de Raucourt et Hugo Zylberberg)
  • Espace et compétition(s) stratégique(s) (Lise Dubois et Guillaume Schlumberger)

2. des thématiques classiques que nous revisitons :

  • Introduction à la stratégie (Corentin Brustlein et Guillaume Lasconjarias)
  • Le risque de guerre nucléaire au XXIe siècle. Histoire et défis contemporains des politiques d’« Arms Control » et de désarmement (Maïlys Mangin)

3. deux séminaires de recherche :

  • Les implications stratégiques de l’intelligence artificielle (Maïlys Mangin)
  • Chantiers d’histoire nucléaire : Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Ukraine… tour d’horizon de diverses trajectoires nucléaires européennes / « European Nuclear Trajectories » (Frédéric Gloriant et Pierre-Louis Six)

Du 4 au 8 mars 2024, nous organisons également une PSL-Week dédiée aux « Grands enjeux nucléaires et stratégiques contemporains », avec un focus sur l’actuel conflit russo-ukrainien. 


Dès la rentrée de septembre 2024, cette offre se structurera en une mineure, validable dans le cadre du Diplôme de l’ENS, qui aura vocation à fédérer l’ensemble des formations offertes au sein de l’École en matière de relations internationales, de défense et de sécurité. Cette offre de formation a toute sa pertinence pour les normaliens et normaliennes intéressés par les carrières ayant trait aux relations internationales, que ce soit dans la haute fonction publique – diplomatie, défense – ou dans la recherche.